Préparation pour langue de porc
Mettre les langues avec la carotte pelée et coupée en 4 dans le sens de la longueur, la branche de céleri découpée en tronçons, 6 grains de poivre, 1 feuille de laurier, 1 branche de thym, sel, 1 oignon avec la peau dans une cocotte. Couvrez d’eau.
A ébullition, écumez et laissez cuire 1h30 à petit bouillon. Sortez la langue du bouillon et pelez-la avec un couteau. Faites réduire le bouillon en le chauffant à découvert.
Pendant ce temps, découpez la langue en tranches d’un demi-centimètre d’épaisseur.
Passez le bouillon dans une passoire fine. Réservez la carotte et le céleri.Récupérez le bouillon.
Dans la cocotte, faites revenir à sec la poitrine fumée coupée en lardons (c’est meilleur de prendre de la poitrine fumée pour faire des lardons que d’acheter des lardons pré-découpés poly-phosphatés qui recrachent 50% de liquide à la cuisson).
Ajoutez 4 c.a.s. d’huile d’olive ou 40g de beurre.
Poudrez de farine et mélangez bien à la spatule en bois.
Ajoutez alors le vin blanc et l’ail dégermé et haché.
Remuez avec la spatule, ajoutez du bouillon de cuisson de la langue pour avoir un volume de sauce suffisant (un à deux verres).
Laissez cuire 2 à 3 mn.
Ajoutez du cumin moulu (1/4 c.a.c., il ne faut pas en abuser c’est très puissant) sel poivre au goût.
Ajoutez alors la langue, puis la carotte et le céleri coupés en petits dés, et les olives égouttées.
Laissez mijoter 15 mn. 2 à 3 mn avant la fin, ajoutez les câpres et rectifiez l’assaisonnement(poivre).
Accompagnez de pommes de terre vapeur ou de haricots verts (ou les deux)
j’ai eu apeu près la meme experience
un jour le papi chez qui je travaille me donne un poulet fermier vivant. je repars à la maison avec le poulet et les instuction pour le tuer sans le rater. le soir on s’y met à deux avec mon mari. je tiens le poulet et mon mari le couteau. juste avant de planter le couteau mon mari lance un « mon dieu pardonnez moi » je le regarde avancer et essayer de saigner ce pauvre pouler qui se met a crier et je le lache ; obliger de courir après pour l’achever.
franchement, je ne ferais pas ça tout les jours..
nous avons aussi fait de la sanquette comme le grand père nous l’a expliqué, c’est à dire faire couler le sang du poulet dans une assiette .ajouter des lardons et laisser cailler. puis faire frire (pas cuire trop longtemps pour pas que ce soit trop sec)
On s’y croirait… Sacrés tontons ! C’est drôlement bien écrit. Je ne sais pas si je vais tenter le lapin…